La maison Pequignet existe depuis 1973. Emile Pequignet,
horloger hors pair depuis l’âge de 16 ans, est à son origine. En
s’installant ses ateliers à Morteau dans le jura français, il a
pérennisé le savoir faire local, puis après avoir fait grandir sa
passion pendant 30 ans, il a pris sa retraite en 2000.
Didier Leibundgut (que
j’ai rencontré au salon de Paris) et qui reprend l’entreprise, décide
alors dès 2004, de porter la maison vers la haute horlogerie. Ce sera la
création d’un laboratoire en 2006, puis le premier fameux « Calibre
Royal » en 2011.
La Recherche et Développement
a durement lesté l’entreprise. Les ventes ont du mal à assurer sa
survie, c’est alors que les repreneurs français de l’entreprise
américaine LaCie, spécialisée dans le stockage informatique, décident de poursuivre les efforts. L’ancien directeur de cette société, Laurent Katz est placé à sa tête en tant que CEO où il poursuit le développement. L’année 2014 va alors atteindre 5000 ventes.
Pour notre bonheur, Pequignet va développer une gamme plus abordable de garde-temps, où les prix moyens avoisinaient jusqu’alors les 7000 euros. Il
est vrai que nous étions en présence de ponts et platines perlés,
colimaçonnés et garnis de côtes de Genève. L’extraordinaire technicité
du Calibre Royal achevait cette excellence poussée par des bracelets en
alligator, laissant nos espoirs de porter une Pequignet dans le fond de notre bourse. La Manufacture décide donc en 2014, de commercialiser la gamme Moorea. Quatre séries de montres de haute volée, mus par des mécanismes Seiko SII NH35 (qui n’ont rien à envier aux fameux ETA 2824.2) ou pour l’une d’entre elles, d’un calibre quartz d’origine suisse. Quel plaisir alors de porter enfin une Pequignet à moins de 1000 euros ! link
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